• Notre comité était présent lors de l'inauguration de la stèle commémorative sise sur le "Parc de la Navale" le 24 Juin 2016.

    Ce dernier vendredi, c'était la « fête de la Navale » sur le site de nos anciens chantiers. Une fête, contraintes budgétaires obligent, qui n'a pas revêtu les beaux atours des années passées, mais qui a réuni à la fois des centaines d'écoliers ayant bénéficié des « classes de découverte "Navale" » que nous avons initiées il y a trois ans en partenariat avec l'Education nationale et les associations « d'anciens » des chantiers navals, et, justement, ceux qui ont travaillé dans notre site industriel jusqu'à la fin des années 1980, en présence de la population et de représentants de la communauté arménienne de la région, car, outre les remises de récompenses aux enfants, l'événement a été l'occasion d'inaugurer une nouvelle "borne" de notre parcours de mémoire de l'industrie navale sur notre parc urbain littoral.

    Une borne dédiée, au travers notamment d'un Arménien immigré qui a travaillé ici avant de laisser sa vie dans la lutte contre le nazisme, Missak Manouchian, et d'un cadre d'industrie, Henri Veyssière, à la mémoire de la Résistance au sein de nos chantiers.

    (Extrait du blog de Marc Vuillemot, maire de La Seyne)

    24 Juin 2016 : Hommage aux résistants des Chantiers

     

    24 Juin 2016 : Hommage aux résistants des Chantiers

     

    24 Juin 2016 : Hommage aux résistants des Chantiers

    Pierre Papazian, près de la stèle pour laquelle il s'est battu si longtemps

    24 Juin 2016 : Hommage aux résistants des Chantiers


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    19 Juillet  2016. Le comité local de La Seyne - Six Fours - saint Mandrier était présent. Des jeunes ont lu un très beau poeme de leur composition, sur la rafle du Vel D'Hiv

     

     


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  • Au cours de la 2ème guerre mondiale, La Seyne n’a pas été le théâtre d’actions d’éclat, et pourtant… Dans l’ombre, des seynoises et des seynois se sont engagés dans la Résistance comme l’attestent les nombreuses plaques de rues aux noms de ceux qui ont perdu la vie ; sans compter ceux, plus nombreux, dont on ignore tout. Certains dans le réseau de renseignements P 2 dont les précieuses informations permirent aux armées de libération de programmer le débarquement du 15 août 44 en toute connaissance de cause ; d’autres en imprimant et diffusant tracts et journaux clandestins ; d’autres encore en cachant des armes ; d’autres enfin, dans l’enceinte du chantier naval, en organisant, avec la C.G.T. clandestine, grèves et manifestations, sans compter les sabotages effectués par des mains anonymes grâce auxquels presque aucun des bâtiments prévus par la Marine allemande n’a été livré.

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